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  • Axolotls et cie, les algues

    lampe anti algues UV IDENTIFIER LE TYPE D'ALGUES Share Inhibiteur d'algues Chihiros Doctor Twinstar il en reste un contact naty440@gmail.com Nous allons identifier chaque type d’algues d’eau douce puis apprendre comment les éliminer. Il faut cependant savoir que sur un bac nouvellement installé il est normal d’avoir des algues, il ne faut pas s’inquiéter, tout va rentrer dans l’ordre sans intervention de votre part. En revanche, dans un bac normalement rodé la prolifération d’algues vient toujours d’une carence, d'un éclairage qui n’est pas adapté ou bien des paramètres et de la qualité de votre eau. Une explosion d’algues est signe d’un déséquilibre important. Les algues profitent d’un excès de nitrates (No3) ou phosphates (PHo4) ou du manque d'un oligoélément qui paralyse la croissance des plantes. Un filtre mal entretenu accélère la pousse des algues en laissant dans l'eau des nutriments qui leur profitent. Les filtres produisent des nitrates et une quantité trop importante de nitrates fait pousser les algues ! il faut donc laver et entretenir soigneusement ses filtres. On distingue 2 grands groupes d'algues : Les macro-algues qui sont fixées en thalle (organisées comme une plante) et le phytoplancton, qui flotte en pleine eau (trouble l'eau). Pour limiter ou éviter l'invasion des algues au démarrage d'un nouvel aquarium Il est conseillé de : - planter un maximum de plantes à croissance rapide (cf liste dans section « plantes pour nos loulous ») pour créer une concurrence, ( quitte à retirer certaines d'ici 6 mois quand l'équilibre commencera à s'améliorer et à les remplacer petit à petit par d'autres plantes qui poussent moins vite mais qui seront plus grandes ou plus décoratives ; Anubias, Echinodorus) - ne pas allumer tous les tubes néons ou led d'un seul coup pendant 12 heures.... mais ne brancher que les 2/3 de l'éclairage pendant 10 heures environ puis augmenter petit à petit sur 2-3 mois. Pour limiter la présence d'algues, il faut -un bon éclairage ,1 Watt pour 2 litres d'eau . En lumen : idéalement 30 lumens par litre ) pendant 11 à 12 heures et d'une seule traite.( pas de coupure, les plantes n'apprécient pas vraiment . Pour nos axolotls l’on peut nettement diminuer ce nombre de lumens bien entendu mais il faut choisir les plantes adpatées (cf section plantes) qui seront des plantes à croissance rapide ce qui permet de concurrencer les algues ; -Des leds d’une température (cf section éclairage) de 6000 à 7000 K ou bien des tubes néon changés chaque 10 à 12 mois . Après ce laps de temps, ils éclairent toujours, mais leur spectre a changé et ce sont les algues qui en profitent. - des taux de Nitrates et Phosphates maintenus bas: L'effet majeur des nitrates est de booster la croissance des algues, puisque ce sont leurs nutriments de base. - un taux de fer bien surveillé. Trop de fer encourage les algues et pas les plantes. On recommande en général un taux de fer de 0.05 à 0.1mg/l . Mauvais conseils Éviter d'utiliser des produits anti-algues, qui bouleversent l'équilibre de l'aquarium et créent d'autres problèmes. Les anti-algues agissent aussi sur les plantes par des inhibiteurs de croissance, ils ne bloquent pas que la pousse des algues.... mais ils arrêtent aussi la croissance des plantes ce qui favorise à nouveau la poussée des algues et donc le remède est pire que le mal ! Il est parfois recommandé de faire une coupure d'éclairage de 4-5 heures en pleine journée ! Ceci porte atteinte aux algues , mais surtout aux végétaux supérieurs que sont les plantes. On parvient à limiter les algues en respectant des règles de base - changements d'eau réguliers 30% par mois. Surpopulation = pollution. - beaucoup de plantes, et privilégier les plantes à pousse rapide. - pas de surnourrissage. - surveillance régulière des nitrates et phosphates. Il est inutile et néfaste de viser un taux de zéro No3 ni zéro Po4, un peu de Nitrates et de Phosphates sont nécessaires. Idéalement un taux de 15-20 mg/L de NO3 et un taux de 1 mg/L de Po4 permet d'éviter des poussées d'algues et favorise la pousse des plantes ! Si malgré tout votre taux de phosphates est trop élevé vous pouvez utiliser JBL Phosex ultra En cas de manque de No3 il est recommandé d'espacer les changements d'eau ou même de polluer légèrement le bac en augmentant par ex les distributions de nourriture pour augmenter un peu la charge d'Azote.On peut aussi ajouter simplement du Nitrate de potassium, (KNO3). Bien nettoyer les nouvelles plantes pour éviter d’intégrer des algues dans votre aquarium, en y ajoutant quelques gouttes de javel mais jamais plus d’une minute dans ce mélange. Les algues siliceuses ou diatomées Elles sont présentes sur les roches, éléments du décor ou bien même sur le sable. Il s’agit le plus souvent d’algues présentes sur un bac tout jeune comme nous l’avons vu plus haut. Sur un bac plus ancien cela signifie que l’éclairage n’est plus suffisant ou bien que l’eau ne contient plus les nutriments nécessaires. Dans un nouveau bac, les algues brunes (diatomées) sont presque inévitables mais elles sont peu envahissantes. Elles disparaissent en général toutes seules en 1 ou 2 mois dès que l’équilibre de l'aquarium s'améliore. Il n'y a pas encore d'équilibre entre la quantité des plantes, le nombre des poissons et les doses de nourriture distribuées dans le bac. La population bactérienne de l'aquarium est en cours de développement, la plantation doit s'étoffer, bref l'aquarium a besoin de temps pour qu'un équilibre plus ou moins précaire se mette en place. Normalement, si les paramètres de l'eau et l'éclairage sont bons, les algues brunes s'éclipsent avec le temps. Selon les régions, l'eau de distribution peut présenter une teneur élevée en silicates, (il peut y avoir jusqu'à 30 ou 40 mg/l de dioxyde de silicium (SiO2) ) dans un tel cas, l'utilisation d'eau osmosée peut s'avérer indispensable. Algues encroûtantes, tapissantes Elles arrivent très vite dans un nouveau bac, et sont généralement signe que l'équilibre est bon . Elles sont relativement discrètes, poussent sur le décor et les vitres, mais n'envahissent pas tout . Les escargots ( les Neritinas surtout ) et la plupart des poissons herbivores les mangent. Sur les vitres d’un aquarium destiné aux axolotls on les retire simplement en employant comme "grattoir" une ancienne carte de crédit ou une carte de fidélité. Ca ne raye pas les vitres et c'est très efficace. Algues vertes filamenteuses Elles poussent dans les bacs en bonne santé, bonne nouvelle non ? Elles ont les mêmes exigences que les plantes, leur apparition est bon signe , elles sont moches , mais non nocives, il suffit de les retirer à la main ou en les enroulant autour d'un bâtonnet (barbe à papa ), car elles entrent en concurrence avec les plantes et consomment les mêmes nutriments.. Oedogonium Elles se présentent sous la forme de filaments de 2 à 20 mm, solidement accrochés aux feuilles ou au décor. Ces "poils "sont très fins et verts clair et recouvrent rapidement la face supérieure des plantes comme une fourrure... A ne pas confondre avec les algues pinceau. Elles s'installent sur les feuilles hautes, près de la lumière et toutes les plantes peuvent être ainsi habillées. Ces algues se reproduisent très rapidement et peuvent envahir un bac qui a un taux de nitrates trop important. Méthode naturelle : Pour les éradiquer il suffit en général de retrouver les bons paramètres de l'eau en faisant baisser les phosphates et surtout les nitrates par des gros changements d'eau réguliers. Les Ampullaires, les planorbes et certains poissons les broutent. On peut aussi diminuer le phospahates et nitrates en employant des résines ou masses filtantes spéciales du genre Nitrat-ex ou Phos-ex. 9 fois sur 10 il suffit de rétablir des bons paramètres pour faire disparaître les algues. Il ne sert à rien de traiter avec un produit anti-algues si on ne trouve pas la cause de leur prolifération, elles reviendront systématiquement et les plantes seront de plus en plus affaiblies. Bon nombre d'algicides contiennent du cuivre, qui est très nocif pour les invertébrés du bac et qui donc va tuer les escargots et crevettes, qui sont des auxiliaires précieux dans la lutte contre les algues vertes. Les poissons sans écailles, comme les Loricariidés n'apprécient pas non plus l'accumulation de cuivre. Et évidemment l’axolotl qui en mourrait très rapidement. La cyanobactérie (algue bleue/verte visqueuse) Les poissons ou escargots ne les mangent pas car elles sont toxiques et les produits anti-algues du commerce n'ont pas d'effet. Elle survient plus facilement dans les bacs où le taux de nitrates est quasi nul voir non mesurable. Il est donc parfois nécessaire d'ajouter du nitrate de potassium (KNO3) Mais avant de jouer à l’apprenti chimiste venez demander conseil, une hausse trop rapide aurait des effets ravageurs. Jamais plus de 5ppm au final. Et il faut surtout avoir confirmation sur l’identification de l’algue. Comment s'en débarrasser de manière naturelle ? Il faut en enlever la plus grande quantité possible en les siphonnant chaque jour, en nettoyant très attentivement les pièces du décor qui sont atteintes (les laver dans 70% de javel et 30% d’eau puis bien rincer et sécher), en changeant plus d'eau et plus souvent, bref en améliorant nettement la qualité de l'eau du bac. Mais ce n'est pas tout... La cyano est présente sur terre (et en rivière ,lacs et mer ) depuis 3.5 milliards d'années. Elle est adaptée pour survivre ! Elle utilise le carbone présent dans l'air et dans l'eau , donc en cas de départ de cyano , il faut impérativement couper le co2 , si vous en injectez. ​ Les changements d'eau ne feront pas de miracle, en effet la cyanobactérie utilise le carbone de l'air et les nitrates ne sont pas les seuls responsables de sa propagation d'ailleurs. Les produits anti algues sont inefficaces !! ​ Les causes : une eau saturée en nitrates , phosphates et silicates et autre matières organiques dont le seuil a dépassé le raisonnable, les tests ne les détectent pas et cette eau amène une nourriture permanente aux cyano. l'eau n'a pas une apparence "sale" pour cela elle peut même être cristalline) ​ Souvent les multiples tentatives pour faire disparaître cette "algue" uniquement via des chagements d'eau et un black out sont vaines, l'on constate leur retour après trois jours Le purificateur d'eau , resi-filtre clean water de zolux fonctionne bien et un jour après plus de trace de cyano normalement. L'éclairage n'est pas la cause de tout mais effectivement comme une eau peu oxygénée (donc pensez aux plantes oxygénantes) et un milieu stagnant, tous ces éléments favorisent grandement son apparition ! Résumé : aqua bien planté, eau bien brassée et oxygénée et vous pourrez éviter son apparition. Il s’agit d’algues rouges qui peuvent se présenter sous une couleur noire, verte également. Elles poussent en touffes drues sur les plantes à croissance lente comme les anubias, certaines fougères ou echinodorus et meme sur votre sol. Elles apprécient le courant , on les voit souvent dans les zones bien brassées de l'aquarium et sur le tuyau de sortie du filtre. Elles proviennent souvent d’un manque de phosphates. Ou bien d’un déséquilibre entre phosphates et nitrates (la cause principale de nombreuses algues) Un ratio de 10 en nitrates contre 1 de phosphate est idéal ( 10 mg/l de nitrates pour 1 mg/l de phosphates ). Toutes ces algues profitent « grâce » à une mauvaise maintenance : changements d’eau peu fréquents ou irréguliers, idem pour vos masses filtrantes. Personnellement j’ai eu à lutter contre ces algues amenées par des plantes nouvelles qui étaient atteintes, il a suffit de les placer avec de l’eau de leur aquarium dans un seau dans le noir 15 jours et les plantes encore atteintes sont restées une à deux semaines de plus jusqu’à éradication de cette algue. Les algues pinceau Les algues vertes sont, quant à elles, liées à une lumière trop intense. Elles recouvrent le décor, le sable, les vitres et les plantes. Il suffit pour les éliminer de réduire l'éclairage ou de changer la puissance des néons. Elles sont également souvent présentes lorsque l'aquarium est exposé à la lumière extérieure, au soleil. Dans ce cas, seul le déplacement du bac pourra remédier au problème ou occulter les fenêtres. Les algues brunes , à l'inverse, sont liées à un manque de lumière. Elles sont souvent présentes lors de la mise en eau de l'aquarium, et disparaissent d'elles même en quelques semaines. Elles se propagent sur les plantes et le décor, comme une fine poussière de rouille. En frottant doucement avec le doigt, elles disparaissent. Les autres algues, comme les algues bleues, les algues brunes filamenteuses, les algues en pinceaux sont principalement dues à un mauvais équilibre dans l'aquarium. Il n'est donc pas rare de les rencontrer dans un bac nouvellement mis en eau, ou mal entretenu. Des taux de nitrates et de phosphates trop élevés profitent aux algues qui se propagent alors rapidement. Vérifier les paramètres de l'eau de l'aquarium. Quelques conseils pour lutter contre les algues : Surveiller la bonne santé de vos plantes, elles sont en conccurence directe avec les algues. Faites un entretien régulier de l'aquarium en changeant 20% de l'eau chaque semaine, en prenant soin de siphonner le fond avec le tuyau. Réduire momentanément la durée d'éclairage Vérifier le bon état des tubes néons. Au bout d'un an, il faut les changer. T ester la qualité de l'eau de l'aquarium : un taux de nitrates élevé est souvent responsable de l'apparition d'algues. Tester également les phosphates. Il faut avoir une proportion de 10 pour 1 entre nitrates et phosphates : avec un taux de nitrates à 10, il faut un taux de phosphates à 1. Un désequilibre entre phosphates et nitrates profite aux algues. Diminuer la quantité de nourriture et augmenter les changements d'eau si le taux de nitrates est trop élevé. Eliminer toutes les feuilles de plantes atteintes par les algues , ceci évitera leur propagation. Si votre population le permet, préférer une eau plutôt acide, un ph basique favoriserait la prolifération des algues. En aquarium planté, ajouter des plantes à croissance rapide , elles absorbent les nitrates et éviteront aux algues de se propager. Plus il y a de plantes, moins il y a d'algues ! Eviter d'apporter trop d'engrais liquide à vos plantes : un excès favorisent les algues. Bien sûr, veiller aussi à ne pas surpeupler votre aquarium , la pollution qui en découle favorise les algues. Dans tous les cas, n'utiliser jamais de produits chimiques pour en venir à bout. Ils sont néfastes à l'équilibre de l'aquarium et sont peu efficaces. En outre, bien souvent, si il y a eu un résultat, les algues reviennent par la suite puisque la cause du problème n'a pas été éliminée. Au lieu de tenter les produits chimiques, dans les cas extrêmes, vous pouvez tenter de plonger l'aquarium dans le noir complet durant 5 jours. Cette technique semble faire ses preuves, même si là encore ça ne règlera pas la cause du problème. Dans tous les cas, soyez patients, les algues dans un aquarium récent sont normales. Au bout de 6 mois maximum tout doit être rentré dans l'ordre. Cliquez sur l'image pour le commander Inhibiteur d'algues Chihiros Doctor Twinstar - Système électronique contre le développement des algues dans l'aquarium - Troisième génération - Avec adaptateur-convertisseur Dimensions du filtre : 62 x 62 mm - Dimensions du filet filtrant : 95 x 50 mm. Matériau : plastique. Cet inhibiteur supprime la croissance des algues tout en protégeant les poissons et des axolotls bien entendu. Il couvre jusqu'à 90 % de la taille des aquariums sur le marché et réduit les coûts d'utilisateur. Inhibe les algues et favorise la croissance des plantes. Freine la croissance initiale et la reproduction du phytoplancton. Active les oligo-éléments pour stimuler la croissance des plantes. Élimine les agents pathogènes dont ceux qui sont cancérigènes. ​

  • Axolotls et cie, isoler un axolotl, eau reposée, bulleur

    Haut de page Taille aqua Taille aqua ISOLER UN AXOLOTL PRÉPARER DE L'EAU REPOSÉE Share Quand on parle de mettre un axolotl en "tupp", il ne faut pas interpréter petit tupperware alimentaire ou il peut à peine se retourner ! Un bac en plastique est plus adapté (bac à vêtements par exemple). Nathalie Chassagne Eau reposée ou non? Tout d'abord il est important de consulter régulièrement ce site http://social-sante.gouv.fr/sante-et-environnement/eaux/article/qualite-de-l-eau-potable afin de connaître avec précision ses paramètres d'eau en sortie du robinet. Quand on se retrouve avec un taux de chlore libre ou total de 0.03 mg/l autant dire qu'il n'est même pas utile de faire reposer son eau ! youpiiii !!! Il vous faudra mettre du Sera dans votre bac infirmerie si votre eau contient de la chloramine car elle met 15 jours elle à s évaporer et est très dangereuse (chlore mélangé à de l'amoniaque...) La conductivité nous intéresse aussi car elle nous indique si notre eau est bien minéralisée (dure) ou peu (douce). Evidemment ce ne sont pas les seules données qui nous intéressent mais si vous souhaitez affiner tout cela vous pouvez par exemple me contacter via le site ou le groupe, en m'envoyant vos données. Bon à présent parlons de l'eau reposée, savez-vous pourquoi ? Parce qu'ainsi le chlore pourra s'évaporer donc ici la durée du repos dépend de deux facteurs : le taux de chlore dans votre eau de conduite si il est très faible 12 h suffiront en revanche pour d'autres ce sera 24h et pour d'autres 48 h. Si vous utilisez un bulleur le brassage de l'eau accélère l'évaporation du chlore, si il vous fallait patienter 24h vous en serez pour attendre 6 à 10 h grand maximum avec un bulleur. Vous n'avez pas d'eau reposée et il vous en faut absolument de suite ?! Achetez de l'eau de source que l'on peut se procurer dans les magasins Lidl. (non je n'ai pas d'actions chez eux mais à un moment il faut nommer clairement les choses car beaucoup s'y perdent et du coup font des bêtises). De toute façon il vaut toujours mieux changer l'eau au plus vite, imaginez que vous vous trouvez dans un garage avec une voiture en route, cette émission de carbone peut vous tuer, l'axolotl respire dans l'eau si elle est polluée vous pouvez le tuer, pas forcément de suite mais sa peau pourra présenter des lésions (que l'on voit davantage évidemment chez les couleurs claires), les reins seront en insuffisance, autant de dommages qui pourront être irréversibles, ne prenez pas à la légère ces changements d'eau. Et surtout évitez un maximum de les mettre en bac, tupp. On voit de plus en plus de personnes prendre des axolotls et faire leur rôdage ensuite tranquillement , "l'axolotl est en tupp tout va bien" euh... non vous faites le rôdage de votre aquarium et vous prenez ensuite les axos. Pensez un peu à eux, ayez de la considération. Ca n'est pas un jouet, une chose ​ (Cliquez sur les images pour être redirigé vers le site marchand) Mettre ou non un bulleur ? Certains axolotls ne l’apprécient pas du tout, d'autres adorent au contraire s'y coller. Au delà de ces considérations de confort voici les avantages et inconvénients d'un bulleur : Un bac bien planté apporte suffisamment d'oxygène ainsi que les mouvements provoqués par le rejet du filtre. Le fait d'installer un aérateur dans le bac n'apporte que peu d'oxygène, en revanche ça favorise l'élimination du C02 dont les plantes ont besoin pour leur croissance. et le bulleur aspire les fumées de tabac (quand fumeurs) les vapeurs d huile de cuisson etc, il acidifie l eau également :) bref c est juste décoratif . L'été sur les aquariums montant en température c est utile mais dans ce cas uniquement la nuit quand les plantes au lieu de rejeter de l oxygène comme en journée, en prélèvent . Calculer le GH d'une eau minérale ou de source ? GH = Taux de Calcium en mg par Litres / 7.1338 + Taux de Magnésium en mg par Litres / 4.3254 Exemple avec cette bouteille d'Evian GH = Taux de Calcium en mg par Litres / 7.1338 + Taux de Magnésium en mg par Litres / 4.3254 GH = 78 / 7.1338 + 24 / 4.3254 GH = 10.9338 + 5.5486 GH = 16.48 Eau Montroucous GH = Taux de Calcium en mg par Litres / 7.1338 + Taux de Magnésium en mg par Litres / 4.3254 GH = 2.4 / 7.1338 + 0.5 / 4.3254 GH = 0.3364 + 0.1155 GH = 0.45 !!! (quasi osmosée donc). Voici plusieurs marques d'eau conseillées en aquariophilie. Un gh minimum est indispensable sinon l'au s'avère trop douce pour nos axolotls. (1ère colonne)

  • Axolotls et cie, création d'un bassin

    CRÉER UNE MARE NATURELLE DANS SON JARDIN Remplacer quelques mètres carrés de gazon aseptisé par un petit univers aquatique animé par le vol des libellules, les ébats des grenouilles et la palette multicolore des iris, voilà le défi original que vous lance “Jeunes &Nature”. A l’heure où les routes, les zonings industriels et les vastes espaces cultivés dénaturent la valeur de nos paysages et remplacent les milieux naturels, lacréation d’oasis naturelles dans son jardin constitue une action efficace de protection de la nature, un outil didactique passionnant pour les enfants de tous âges ainsi qu’un atout esthétique inégalable qui ne manquera pas d’agré-menter le jardin. Creusons des mares ! Ce petit article vous fournira un maximum de conseils utiles pour créer dans votre jardin une mare naturelle. Lisez-le attentivement et n’hésitez pas à nous contacter pour obtenir des renseignements complémentaires. UN ESPACE RÉSERVÉ À LA NATURE Une mare est une petite étendue d’eau dormante atteignant au plus 1,5 mètre de profondeur. Qui dit mare NATURELLE signifie que l’intervention sur la vie du milieu aquatique sera limitée au strict minimum, ceci afin de permettre aux espèces sauvages de s’y développer librement. En préférant à l’introduction d’espèces exotiques la recolonisation naturelle par des plantes et des animaux de nos régions, on atteindra rapidement un équilibre écologique garant du bon état sanitaire et du bon fonctionnement du milieu aquatique. Le respect de quelques principes élémentaires permettra l’installation spontanée de toute une foule d’organismes appartenant aux différents échelons de la chaîne alimentaire (herbivores, prédateurs et décomposeurs), organismes qui se chargeront eux-mêmes de l’entretien de la mare ! L’action “mares naturelles” de Jeunes & Nature prône donc bien autre chose que la construction en plein air d’un aquarium géant à poissons rouges agrémenté par des jeux de lumière sophistiqués, autre chose aussi que la mise en place d’un bassin bétonné destiné à accueillir nymphéas, carpes japonaises et autres avatars du génie génétique. Tout simplement, donnons l’occasion à la nature de sortir de ses réserves et de s’exprimer librement dans notre univers quotidien : ménageons lui un petit espace dans notre jardin. AVANT DE COMMENCER Tout projet de création de mare devra être mûrement réfléchi. Avant de se mettre au travail, il importe de se poser les questions suivantes : Est-ce que je dispose de l’emplacement idéal pour créer une mare? Pour installer une mare naturelle, il faudra disposer d’une surface d’au moins 2 ou 3 mètres carrés bénéficiant de bonnes conditions d’ensoleillement. Suis-je prêt à consentir un investissement humain et financier ? La création d’une mare, même de petite dimension, représente en soi une petite entreprise. Le creusement va demander de déplacer des volumes de terre parfois importants et, dans la majorité des cas, l’installation d’un système d’imperméabilisation du terrain se révélera nécessaire. Suis-je prêt à aménager les alentours du site ? Idéalement, les alentours immédiats de la mare devront être quelque peu aménagés afin de constituer un périmètre de protection autour de celle-ci et de garantir la qualité du milieu aquatique. La terre issue du creusement permettra de créer des abords vallonnés, offrant des abris à la faune qui choisira d’élire domicile dans la mare (tritons, grenouilles diverses, etc). De jeunes enfants viendront-ils jouer aux abords de la mare ? Pour les enfants en bas âge, la présence d’une mare dans le jardin va constituer invariablement un attrait certain ainsi qu’un risque de noyade à ne pas négliger. Il appartient à chacun d’évaluer l’importance de ce risque et d’installer, le cas échéant, un grillage de protection autour de la zone humide. Des hérons peuvent également venir dans cette mare, si le bassin est facile d 'accès ils viendront se régaler de vos carpes et autres poissons (j'en ai hélas fait l 'experience) grillager? oui mais le rendu est peu ésthétique. Tendre des fils de pêches en travers, se croisant semble un bon compromis. Sinon des leurres se vendent, afin de dissuader les hérons. CONCEVOIR SA MARE Ça y est ! Vous voilà prêts à vous lancer dans la grande aventure de la mare naturelle. En fonction du terrain dont vous disposez, différents types de mares pourront être installés : le terrain est relativement marécageux (sol argileux imperméable) et est alimenté par une nappe phréatique affleurante ou proche de la surface du sol (située à moins d’un mètre de profondeur en été). Dans ce cas particulier, qui n’est certainement pas le plus fréquent, il vous sera possible de réaliser à peu de frais une mare alimentée directement par la nappe aquifère. Sa réalisation consiste simplement à creuser une dépression dans le sol argileux et ne demande pas l’installation de système d’imperméabilisation. Il s’agit donc d’un concept assez intéressant car la mare ainsi créée revêt un aspect tout à fait naturel; sa colonisation végétale se fait spontanément et très rapidement par les plantes des alentours. Elle pourra néanmoins présenter un risque d’assèchement estival important. Comme c’est le plus souvent le cas dans nos jardins, le terrain est sec et dépourvu de nappe affleurante. En plus du travail de creusement, il sera ici obligatoire d’imperméabiliser le fond et les parois latérales de la dépression. L’essentiel de ce document est consacré à la réalisation de ce type de mares. Lors de la réalisation de la mare, une série de questions vont se poser. Nous allons tenter d’y répondre dans l’ordre suivant : où vais-je placer la mare ? quelles dimensions et quelles formes choisir ? comment réaliser pratiquement la mare (creusement, imperméabilisation) ? comment aménager les abords de la mare ? comment favoriser la colonisation végétale et animale ? comment entretenir la mare ? CHOIX DE L’EMPLACEMENT La mare doit être implantée dans un endroit dégagé et ensoleillé (si possible, elle sera exposée au sud et dégagée à l’est et à l’ouest) : lumière et chaleur sont indispensables au bon développement de la végétation aquatique et à l’équilibre biologique de la mare. La mare sera creusée à l’écart des arbres dans la mesure où l’accumulation de feuilles mortes et surtout d’aiguilles de résineux provoque une acidification, l’apparition d’une coloration brunâtre et un envasement excessif de l’eau (phénomène d’eutrophisation). On retiendra cependant qu’il est toujours possible de disposer un filet au-dessus de l’eau pour recueillir les feuilles mortes en automne. De plus, le développement racinaire des arbres ne facilitera en rien les travaux de terrassement et pourrait, plus tard, trouer ou dégrader le système d’imperméabilisation. D’autres facteurs peuvent encore déterminer le choix de l’emplacement de la future mare : on peut par exemple profiter d’une dépression existante ou d’une zone marécageuse. On évitera de placer la mare sur une pente trop importante ou dans une zone où elle pourrait être sujette à des éboulements. Par contre, elle s’insérera très bien à proximité d’un pierrier ou d’une rocaille. Dans la mesure du possible, on évitera de la placer au milieu de la pelouse et on la creusera plutôt en périphérie du jardin, non loin d’une zone plus “sauvage” (par exemple à proximité d’une haie ou d’une zone non tondue qui constituera un refuge idéal pour la faune). Pour délimiter précisément l’emplacement de la mare, il faudra encore avoir à l’esprit le fait que les bords extérieurs de celle-ci devront tous être de niveau, faute de quoi l’eau s’en échappera comme d’une assiette à soupe trop penchée ! En conséquence, la pente générale du terrain devra être aussi faible que possible. S’il existe une légère dénivellation, on alignera le périmètre extérieur de la mare sur le point le plus bas. La cavité sera toujours creusée dans la terre ferme. Il serait en effet illusoire de vouloir construire un remblai de terre latéral pour retenir la bâche : celui-ci s’affaisserait rapidement sous le poids important de l’eau au moment où l’on remplira la mare. LA TAILLE, LA PROFONDEUR ET LE PROFIL DE LA MARE Avant tout, il importe de savoir que la SURFACE disponible pour creuser une mare constitue rarement un facteur limitant : avec 2 ou 3 mètres carrés, il est déjà possible de créer un petit milieu aquatique harmonieux susceptible d’attirer toute une foule de batraciens et d’insectes. Evidemment, plus la taille deviendra importante, plus la valeur biologique du site s’accroîtra par le biais de la diversification de la végétation et des micro-habitats. Pour donner un ordre de grandeur, sachez que la surface habituelle d’une mare de jardin varie entre 3 et 25 mètres carrés pour les plus petites et atteint une centaine de mètres carrés pour les plus grandes. A chacun d’évaluer la taille de la mare en fonction de ses possibilités (coût financier, espace disponible, ...). La PROFONDEUR et la PENTE sont deux facteurs particulièrement importants qui conditionneront avant tout la qualité de la mare, son intérêt écologique et son intégration dans le jardin. Il faut savoir que les différentes espèces de plantes aquatiques ont chacune leurs préférences quant à la profondeur de l’eau. Ainsi, le botaniste distinguera : Les plantes des berges et des rives marécageuses (myosotis, menthes, lysimaques, populage, laîches ...), les plantes semi-aquatiques, enracinées dans la vase, qui s’avancent au plus jusqu’à 50 cm de profondeur (roseaux, massettes, sagittaire, iris, plantain d’eau ...), les plantes flottantes dont les feuilles et les fleurs émergent à la surface de l’eau (nénuphars, lentilles d’eau, potamots ...), Les plantes submergées , dites oxygénantes (callitriches, myriophylles, élodées...). Afin de permettre le développement de ces différentes ceintures de végétation, il importe de créer des rives en pente douce. Ceci permet en outre d’éviter les éboulements de terre et de réduire, lors des fortes gelées, la pression de la glace sur les parois de la mare; ces rives offrent aussi une voie de sortie commode aux animaux tombés accidentellement dans la mare. Des zones plus profondes allant jusqu’à 80 cm, voire 120 cm de profondeur, sont également importantes dans la mesure où elles permettent de conserver des zones d’eau libre dépourvues de végétation aquatique. Qui plus est, les zones profondes constituent un abri pour les animaux de la mare en cas de forte gelée hivernale. Pratiquement, on tâchera de creuser des rives en pente douce convergeant vers une zone plus profonde. C’est la rive nord de la mare (= rive exposée au sud) qui est la mieux exposée au rayonnement solaire et qui est donc la plus propice au développement de la végétation. Si la surface de la mare est relativement faible, on veillera à aménager cette rive en pente douce ou en escaliers, alors que la rive opposée pourra être plus abrupte pour atteindre une profondeur voisine de 80 cm. Les plantes de la mare - Catégories écologiques. Plantes des berges et des rives marécageuses : Jonc épars, Reine-des-Prés, Populage des marais, Lysimaque vulgaire. Plantes semi-aquatiques : Sagittaire, Iris jaune, Massette. Plantes flottantes : Lentille d’eau, Nénuphar blanc. Plantes submergées : Myriophylle. Choix du profil de la mare. Quant à la FORME de la mare, elle sera variée, avec des CONTOURS COURBES et asymétriques, mais pas trop compliquée (difficultés de réalisation). En effet, il faut savoir que plus la forme est compliquée, plus on aura de “chutes” dans le matériau d’imperméabilisation (découpes et morceaux de bâche inexploités). RÉALISATION PRATIQUE Le système d’imperméabilisation Nous arrivons ici à l’étape la plus cruciale, à savoir la réalisation de la cuvette imperméable. Pour ce faire, il faudra creuser une dépression, ajuster son profil et placer un revêtement permettant d’imperméabiliser le fond et les parois de la mare. Nous nous intéresserons ici aux mares dont l’étanchéité est assurée par une bâche en matière plastique. D’autres systèmes existent mais ne seront pas détaillés ici. Citons simplement le revêtement par une couche d’argile (lourde à manipuler et étanchéité non assurée) et les mares dont les parois et le fond sont réalisés à l’aide de matériaux rigides - bétons et polyesters - dont la pose est très délicate et le coût assez prohibitif. Si faible profondeur sur toute la surface de la mare. Risque important d’assèchement estival et d’envahissement par la végétation. Profondeur élevée sur toute la surface de la mare. Développement de la végétation aquatique des berges et des zones peu profondes rendu impossible. Un compromis entre les deux situations précédentes permet de concilier les avantages des deux types de mares. C’est la BÂCHE en PVC qui constitue de toute évidence le meilleur rapport qualité/prix. Faisant de 0,5 à 2 mm d’épaisseur, de couleur noire ou verte, ce matériau souple présente une étanchéité parfaite. On évitera cependant de marcher avec des chaussures sur la bâche. Sa durée de vie est généralement garantie par le fabricant pour une période supérieure à 10 ans. Son prix oscille autour de 5 euros du mètre carré. Ce type de bâche se trouve facilement dans la plupart des grandes surfaces ainsi que dans les commerces spécialisés (pépiniéristes). Le principe de la conception des mares imperméabilisées par une bâche de ce type est relativement simple. Après avoir creusé une dépression dans le sol, on disposera successivement sur les parois de celle-ci : une couche de 5 cm de sable (couche de revêtement facultative pour lessols meubles, mais indispensable pour les sols caillouteux), la bâche en plastique, une fine couche de terre qui constituera le “substrat” de la mare et dans laquelle la végétation va pouvoir s’enraciner. Attention, quand on procèdera au calcul des dimensions de la mare, on n’oubliera pas de rajouter une dizaine de centimètres supplémentaires pour tenir compte de l’épaisseur cumulée de ces différentes couches. Matériel nécessaire - outils de terrassement : bêches, pelles, pioches, etc., - niveau de maçon, - brouette (permettant de transporter la terre), - bâche imperméable en PVC ou en caoutchouc butylé, - sable et argile (éventuellement). On pourra calculer les dimensions de la bâche à acheter en effectuant le calcul suivant : Longueur = longueur maximale de la mare + 2 fois profondeur maximale Largeur = largeur maximale de la mare + 2 fois profondeur maximale REALISATION DE LA MARE ET INSTALLATION : Réalisation Le périmètre extérieur de la mare est délimité précisément avec une corde, des piquets ... Les travaux de terrassement sont effectués avec des outils appropriés. Le profil des rives et des parois est réalisé suivant les plans prédéfinis (utiliser un niveau), en tenant compte des 10 cm supplémentaires liés à l’épaisseur des différentes couches. En creusant, on prendra garde de ne pas rencontrer et endommager un câble ou une canalisation qui pourrait traverser le jardin ! Après avoir enlevé tous les éléments saillants (cailloux, racines ...) qui pourraient trouer la bâche, on tasse et on lisse toute la surface de la dépression. Dans le cas des sols caillouteux, le fond et les parois sont garnis, dans la mesure du possible, d’une couche de sable de 5 centimètres d’épaisseur. On dispose la bâche sur les parois de la cavité en épousant la forme de celle-ci. Les plis saillants seront éliminés en repliant les pans de bâche les uns en dessous des autres. Si ce travail demande de marcher sur la bâche, il sera réalisé à pieds nus pour limiter les risques de perforation du matériau plastique. ATTENTION : la bâche ne doit être fixée qu’après le remplissage d’eau. De cette manière, elle épousera parfaitement la forme de la cavité, ce qui évitera tensions et déchirures. Idéalement, il faut remplir une première fois la mare d’eau puis la vidanger. Cette opération permet de nettoyer le matériau plastique d’éventuelles substances chimiques qui la recouvrent. On peut aussi profiter de cette opération pour corriger la forme de la dépression, rehausser certaines rives, etc. La mare peut enfin être remplie d’eau. On préférera l’eau de pluie à l’eau du robinet dans la mesure où cette dernière est trop riche en éléments minéraux (chlore, nitrates, carbonates ...). Une eau trop riche peut en effet provoquer divers déséquilibres biologiques, comme un envahissement rapide de l’eau par les algues vertes, le recouvrement de la végétation aquatique par une pellicule blanchâtre de calcaire, etc. Dans nos régions, selon la saison, l’eau de pluie aura rempli la mare dans un délai compris entre quelques semaines et quelques mois. Si on veut accélérer le processus, on pourra utiliser éventuellement de l’eau de puits ou de citerne (en se méfiant toutefois des eaux qui ont ruisselé sur des tôles métalliques ou qui ont croupi trop longtemps dans une citerne). Il faut alors recouper les bords de la bâche plastique, en laissant une marge supplémentaire de 40 cm tout autour de la pièce d’eau et arrimer solidement celle-ci sur les côtés. Différentes possibilités existent à ce niveau : elles sont détaillées dans la partie traitant de l’aménagement des abords de la mare. Dans le fond de la mare, on peut disperser une fine couche de terre - au maximum de 5 cm d’épaisseur afin de constituer un premier substrat pour la végétation. La terre en question ne devra pas être trop riche en matière organique (éviter d’utiliser du terreau ou de la terre de compost). On peut, par exemple, travailler avec un mélange 50/50 de sable et d’argile. Attention de ne pas mettre trop de substrat : une fois la végétation aquatique installée, l’épaisseur de vase ne fera que croître avec le temps, ce qui entraîne un comblement progressif de la mare. Les plantes seront disposées en fonction de leurs préférences écologiques (profondeur d’eau !). Elles peuvent être plantées directement dans le substrat ou en pot. Cette dernière possibilité est préférable pour les plantes pourvues d’un puissant système racinaire qui risquerait de trouer la bâche et pour les végétaux dont on désire pouvoir contrôler facilement le développement. AMÉNAGEMENT DES ABORDS DE LA MARE Arrimage de la bâche Il est important que la bâche - et notamment les bords - ne soient pas exposés aux rayons du soleil car, après quelques années, le matériau plastique (PVC) se durcit et fend sous l’influence des U.V. La meilleure façon de dissimuler la bâche et d’intégrer rapidement la mare dans le jardin consiste à cacher les bords de celle-ci sous le gazon. Pour ce faire, il suffit d’inciser la terre horizontalement à la base du système racinaire de la pelouse, sur la longueur d’un fer de bêche et sur tout le pourtour de la cavité, avant de glisser le bord de la bâche dans la fente ainsi pratiquée. Si la rive est réalisée en pente douce juste avant de rejoindre le gazon, il est possible de créer une zone marécageuse qui fera la transition entre la pelouse et la pièce d’eau. Les berges pourront ensuite être aménagées et éventuellement consolidées avec des pierres plates. Aménagement des berges Le volume de terre extrait hors du trou peut être relativement important. Si on désire ne pas avoir à modifier exagérément l’aspect du jardin, la terre sera éliminée. Mais on peut très bien s’en servir pour la répandre sur un des côtés de la mare - au nord si possible - de manière à créer une rive plus haute qui prolongera la zone marécageuse, bénéficiera d’un bon ensoleillement et protègera la mare contre les intempéries. Des plantes pionnières s’y installeront spontanément et on pourra éventuellement y planter quelques buissons bas (pas trop : attention aux chutes de feuilles dans la mare). La rive opposée (rive sud), généralement plus abrupte, pourra être étudiée de manière à aménager un accès facile à la pièce d’eau et à renforcer la berge. On peut ainsi poser le long de celle-ci une poutrelle en bois, quelques pierres plates, etc. PEUPLEMENT VÉGÉTAL DE LA MARE Qu’il s’agisse de plantes ou d’animaux, IL EST EXCLU D’INTRODUIRE DANS UNE MARE NATURELLE DES ESPÈCES EXOTIQUES , non adaptées à nos conditions climatiques. Tout d’abord, leurs chances d’installation sont relativement réduites et, même si elles y parviennent, cellles-ci risquent de se répandre dans la nature, d’entrer en compétition avec les espèces de nos régions et de perturber le fonctionnement de nos écosystèmes. Nous rappelons une fois encore que le peuplement de la mare par des espèces de chez nous constitue la meilleure garantie de son bon équilibre biologique. La colonisation spontanée par la végétation aquatique d’une mare créée artificiellement est possible si on utilise comme substrat de la vase provenant d’une autre pièce d’eau et s’il se trouve d’autres zones humides dans l’environnement immédiat de la mare. Mais cette recolonisation sera souvent très lente. C’est pourquoi on conseillera de planter et de semer soi-même des plantes indigènes appartenant aux différentes catégories écologiques (plantes des rives marécageuses, semi-aquatiques, flottantes et submergées. Pour autant que les rives aient été aménagées en pente douce, il sera possible d’introduire dans la mare au moins 1 à 2 espèces de chacune des catégories. Ces plantes garantiront l’aspect esthétique de la mare et permettront l’oxygénation de l’eau, condition indispensable au développement de la vie animale. Insistons particulièrement sur l’importance des plantes submergées qui assurent à l’eau l’essentiel de son apport en oxygène. L’approvisionnement idéal en plantes aquatiques consiste à aller chercher graines, plants et boutures chez d’autres adeptes de la mare naturelle. On pourra également se procurer des plants chez des pépiniéristes spécialisés, tout en veillant à n’acheter que des plantes de nos régions. En procédant ainsi, on n’appauvrira pas nos zones humides sauvages qui hébergent assez bien d’epèces en voie de raréfaction, dont certaines sont d’ailleurs protégées par la loi (c’est le cas de nos deux espèces de nénuphars). Rappelons également que la loi interdit tout prélèvement de plantes, quelles qu’elles soient, dans une réserve naturelle. On n’introduira pas les plantes aquatiques en trop grand nombre dans la mare car la pluaprt se propagent et s’étendent très rapidement. Les plantes des berges et des rives marécageuses seront semées ou repiquées de la fin de l’automne au début du printemps alors que les autres plantes aquatiques seront transplantées plus tard, du mois d’avril au mois de juillet, à partir de plants ou de boutures. On veillera à bien respecter les exigences spécifiques des différentes espèces quant à la profondeur de l’eau, l’ensoleillement, etc. Ces exigences ainsi que le mode de transplantation (graine, plante entière, bouture, division de souche, rhizome (= grosse tige souterraine) ) Si on n’a disposé que très peu de substrat sur la bâche, on veillera à ce que les racines des plantes soient entourées d’une motte de terre avant de les placer dans la mare. Il faudra encore lester les racines de certaines plantes flottantes - avec une pierre - pour assurer l’ancrage de celles-ci dans le fond de la mare. Plantes submergées Cornifle Elodée Myriophylle Ceratophyllum demersum Elodea canadensis Myriophyllum spicatum Plantes flottantes Lentille d‘eau Lemna minor Couvrante Plant Plantes semiaquatiques Iris jaune Massette Plantain d’eau Potamot nageant Roseau commun Rubanier rameux Iris pseudacorus Typha angustifolia Alisma plantago-aquatica Potamogeton natans Phragmites australis Sparganium erectum Rhizome Rhizome Plant Plant Bouture tige Plant Plantes des berges et des rives marécageuses Angélique Epilobe hérissée Eupatoire chanvrine Glycérie aquatique Jonc épars Laîche des marais Lysimaque vulgaire Menthe aquatique Myosotis des marais Populage Reine-des-prés Salicaire commune Scrophulaire allée Valériane rampante Angelica sylvestris Epilobium hirsutum Eupatorium cannabinum Glyceria maxima Juncus effusus Carex acutiformis Lysimachia vulgaris Mentha aquatica Myosotis scorpioides Caltha palustris Filipendula ulmaria Lythrum salicaria Scrophularia umbrosa La sagittaire, les nénuphars jaunes et blancs indigènes sont partiellement protégés par la loi du 12 juillet 1973 sur la conservation de la nature : ils ne peuvent être prélevés qu’en petite quantité, mais ne peuvent être commercialisés. Le callitriche des marais est strictement protégé par la loi sur la conservation de la nature du 12 juillet 1973 et tout prélèvement en nature est donc interdit, sauf dérogation, uniquement pour certains motifs d’intérêt général. COLONISATION ANIMALE DE LA MARE La mare sera très vite peuplée par un nombre impressionnant d’organismes unicellulaires (protozoaires) et de petits invertébrés microscopiques qui vont réguler l’équilibre écologique de celle-ci et amorcer la chaîne alimentaire. La plupart du temps, ces organismes seront apportés sans le vouloir avec la végétation; on pourra même accélérer le processus en “inséminant” la mare avec quelques seaux de vase provenant d’une zone humide des environs. Après ces représentants de la micro-faune, beaucoup d’autres animaux coloniseront spontanément la mare et transformeront la pièce d’eau en un milieu grouillant de vie. Parmi ceux-ci, les plus nombreux seront sans doute les insectes : une fois installés aux abords de la mare, certains y séjourneront le restant de leur vie (dytiques, punaises aquatiques ...) alors que d’autres ne s’y rassembleront que pour pondre leurs oeufs (libellules, phryganes, moustiques...). De nombreuses espèces d’insectes passent ainsi par un stade larvaire adapté à la vie aquatique avant de se disséminer vers de nouvelles zones humides, une fois devenus adultes. On voit donc que, contrairement à la végétation, la colonisation animale de la mare s’établit d’elle-même assez rapidement. Dans la mesure où toute introduction animale risque de perturber fortement l’équilibre biologique du milieu et d’entraîner un bouleversement profond de la vie de la mare, il y a lieu de ne pas y introduire d’animaux. En particulier, on veillera à ne pas introduire de poissons dans les mares de petites dimensions (surface inférieure à 25 m²). En fait, ces derniers risquent fort de concurrencer les autres espèces animales car ils consomment énormément d’oxygène; qui plus est, ce sont des prédateurs hors pair capables en peu de temps d’anéantir les populations d’insectes de la mare (libellules notamment) et de bouleverser complètement la chaîne alimentaire ! Pire encore, certaines espèces ont la fâcheuse habitude de remuer la vase, ce qui rend l’eau trouble et, dès lors, empêche la lumière de pénétrer dans l’eau et perturbe le développement de la vie animale et végétale (dépérissement des plantes, appauvrissement en oxygène, etc.). Si votre jardin est situé dans un environnement qui leur est favorable, les batraciens (grenouilles, crapauds et tritons) viendront d’eux-mêmes coloniser votre mare. Ceci est généralement les cas s’il existe d’autres zones humides dans les environs, c’est-à-dire dans un rayon de 1 ou 2 kilomètres. Dans le cas contraire, la tentation sera forte de réintroduire soi-même têtards, grenouilles et tritons. Ces animaux ont des exigences écologiques très pointues (besoin d’une aire de chasse et de sites d’hibernation autour de la mare) et, si celles-ci ne sont pas remplies, ils seront très vite condamnés à mourir dans un coin de votre jardin ! Signalons enfin que tous les batraciens, leurs larves (têtards) et leurs oeufs sont protégés par la loi sur la conservation de la nature et qu’il est dès lors interdit de les prélever et de les transporter. La seule exception que l’on pourrait faire à la règle de “non-introduction d’espèces animales” concerne les escargots d’eau (planorbes et limnées). Comme leur faible pouvoir de dispersion les empêche de coloniser des milieux nouvellement créés et comme ils jouent un rôle capital dans la décomposition de la matière organique, il peut être intéressant de prélever quelques exemplaires dans la nature (étang ou marécage) et de les introduire dans la mare. A propos de l’équilibre de la mare naturelle ... Tous les organismes vivants d’une mare naturelle sont soumis à la même loi : manger ou être mangé. Il en résulte la constitution d’une chaîne alimentaire fort complexe reliant les végétaux aux prédateurs, en passant par les herbivores, sans oublier les décomposeurs qui transforment les organismes morts en substances nutritives assimilables par les plantes. Prenons un exemple en nous référant à l’illustration de la page suivante : en présence de lumière, de gaz carbonique et de sels minéraux dissous dans l’eau, les plantes aquatiques telles que le Ceratophylle croissent et se multiplient. Les têtards du crapaud commun, herbivores dans les premières semaines de leur vie, grignotent ces plantes aquatiques. Mais la larve de libellule guette; redoutable prédatrice, elle consommera quantité de têtards pour se développer. Cette larve se métamorphosera après quelques années en libellule adulte. Celle-ci se fera attraper par une rousserole qui peut, elle-même, se faire manger par un superprédateur terrestre. A sa mort, son cadavre sera éliminé par les décomposeurs. Il s’agit de bactéries qui transforment les restes d’êtres vivants en eau, gaz carbonique et sels minéraux, c’est-à-dire les trois composés indispensables à la croissance des végétaux. La boucle est bouclée ... et le cycle peut recommencer indéfiniment. Dans la mare naturelle, ces cycles fonctionnent bien et un équilibre entre les organismes en décomposition et les décomposeurs s’établit de lui-même après quelque temps. Cependant, toutes interventions extérieures telles que l’introduction de poissons et de plantes non indigènes, l’installation d’une pompe à air, ... risque de déséquilibrer l’écosystème ou d’engendrer des perturbations. Or, ces déséquilibres se traduisent souvent par diverses nuisances : pullulation d’algues, invasion de moustiques, mauvaises odeurs, ... Pour peu qu’on la laisse évoluer naturellement et que l’on ne soit pas trop interventionniste, une mare naturelle s’équilibre d’elle-même et n’est source d’aucune nuisance. ENTRETIEN DE LA MARE A vous de jouer ! Quels sont les animaux et les plantes de la mare ? Les travaux d’entretien d’une mare naturelle ne sont normalement pas très importants. Il convient cependant de respecter certains principes de base pour maintenir la mare en bonne santé. Tout d’abord, il faudra veiller à limiter la quantité de végétaux qui se décomposent dans la mare, en particulier les apports de feuilles mortes. On veillera aussi à NE PAS TONDRE LE GAZON TROP FRÉQUEMMENT à proximité de la mare dans la mesure où l’accumulation d’herbes coupées dans l’eau exerce une action néfaste sur la vie de la mare. Idéalement, on pourra même conserver une bande de quelques mètres de large tout autour de la pièce où l’herbe sera fauchée 1 à 2 fois par an. De cette manière, on ménagera une zone-refuge pour les insectes et les batraciens qui, à certaines saisons, s’éloignent quelque peu du milieu aquatique. Ensuite, on veillera à ce que la mare ne s’assèche pas de manière trop prononcée en été. En effet, si la bâche est exposée trop fortement aux rayons du soleil, elle risque d’en souffrir et même de se fissurer ! On pourra donc compenser les pertes trop importantes dues à l’évaporation par un apport progressif d’eau de ville ou de citerne (dont la température doit être proche de celle de l’eau de la mare). Enfin, il faut savoir que, dès sa création, LE MILIEU AQUATIQUE N’AURA CESSE D’ÉVOLUER ET DE SE TRANSFORMER. La colonisation animale et végétale aidant, la mare sera très vite peuplée par une foule d’organismes. Au fil du temps, l’envahissement par les plantes aquatiques risque de devenir très important, surtout pour les mares de petites dimensions. Il conviendra de limiter le développement de cette végétation si on ne veut pas assister à un comblement progressif du plan d’eau (phénomène naturel d’eutrophisation). Pour pouvoir détecter d’éventuels problèmes (voir tableau 3), il importe donc de suivre régulièrement l’évolution de la mare. A ce propos, sachez qu’une mare en bonne santé se caractérise par un développement équilibré de sa faune ainsi que par le caractère LIMPIDE ET TRANSLUCIDE de son eau. Dans les premiers mois qui suivent sa création, toute mare créée artificiellement est sujette à un risque de déséquilibre. Ce dernier peut se marquer par un développement important de plantes flottantes et immergées (algues, lentilles d’eau, etc.), souvent provoqué par une trop grande richesse de l’eau en éléments nutritifs. Avant de s’alarmer inutilement, il faudra avant tout être patient : la mare devrait normalement trouver elle-même son équilibre avec le développement de la faune et des autres plantes aquatiques. Après deux ou trois ans, la végétation aquatique aura souvent tendance à envahir progressivement toute la mare. Il importera alors de conserver des zones d’eau libre pour permettre un ensoleillement suffisant de la mare. C’est pourquoi, chaque automne, il faudra éliminer une partie des plantes immergées et des plantes flottantes, de même qu’on pourra procéder au fauchage des plantes et des berges (+ exportation du produit de la fauche). On pourra profiter de l’occasion pour fournir les plantes aquatiques en surnombre à des personnes qui viennent de creuser une mare. Mais attention ! Quand on enlève la végétation, il convient de prendre certaines précautions pour ne pas massacrer inutilement les animaux qui se réfugient préférentiellement dans les plantes aquatiques. Avant d’éliminer les végétaux, on les secouera avec énergie au-dessus de la mare, puis on les laissera reposer quelques jours à proximité immédiate des berges ou sur un filet placé quelques centimètres au-dessus du niveau de l’eau. De cette manière, les animaux pourront s’enfuir et regagner par eux-mêmes leur habitat aquatique. Mieux encore, pour laisser des zones refuges à la vie aquatique, on ne nettoiera pas le même jour l’entièreté de la surface de la mare. Après quelques années d’installation, il se peut que le processus d’eutrophisation se marque davantage, ce qui se traduit par un envahissement végétal, un trouble de l’eau et un envasement de plus en plus prononcés. A la limite, on peut même assister à la mort biologique de la mare, provoquée par un appauvrissement de l’eau en oxygène. Pour contrecarrer ce processus, il faudra limiter de manière drastique le développement de la végétation flottante - qui limite l’ensoleillement - et éliminer une partie de la vase qui tend à s’accumuler dans le fond de la mare. Enfin, si le processus d’eutrophisation est vraiment trop avancé, on pourra vidanger la mare, la laisser quelques jours en assec, ôter le plus possible de vase, tout en prenant garde de ne pas trouer la bâche, et enfin remettre la mare sous eau. Mais attention, la mise en assec ne devra être pratiquée que de manière exceptionnelle dans la mesure où elle perturbe fortement la vie du milieu aquatique et demande après coup la mise en place d’un nouvel équilibre biologique ! Problèmes que peut rencontrer une mare nouvellement installée Pullulation de bactéries, - eau laiteuse - trop de matières organiques (plantes, cadavres d’animaux, ...) - manque d’oxygène suite à une catastrophe écologique - enlever la vase - remplir avec de l’eau fraîche - attendre l’action des plantes oxygénantes - Lentilles d’eau pellicule verte uniforme à la surface de l’eau (eau trop riche en éléments nutritifs) - enlever régulièrement les lentilles avec une épuisette ou un tamis - attendre que les réserves alimentaires baissent Invasion de moustiques - jeune mare : pas encore de prédateurs des larves de moustiques - eau riche en substances nutritives attendre que l’équilibre s’installe Pullulation d’algues, épais entrelacs de“fils” d’algues autour des autres plantes aquatiques - eau trop riche en éléments nutritifs - fond de la mare riche en humus - eau très exposée au soleil - enlever les débris accumulés au fond - enlever les masses d’algues filamenteuses - favoriser un couvert végétal naturel de la mare avec des plantes aquatiques flottantes qui limiteront l’ensoleillement BON A SAVOIR Achat de bâches et matériaux divers. Aujourd’hui, se procurer une bâche ne pose plus aucun problème. La plupart des grandes surfaces (bricolage) et autres établissements de jardinage en fournissent. Toutefois, la concurrence est rude. Matériel de base (plastique, PVC, caoutchouc butylé ...), épaisseur de la bâche, largeur des bandes, texture, nombre d’années de garanties, sont autant de paramètres à prendre en considération car ils font varier les prix du simple au triple ! Plantes aquatiques La meilleure solution est de se procurer des boutures auprès d’autres amateurs de mares. Vous pouvez également trouver quelques magasins en linge vendant des plantes à prix très correct.

  • Axolotls et cie, Clinique NAC Marseille

    CLINIQUE DES NACS DE MARSEILLE OPERATIONS CATARACTE ET OCCLUSION Voici une autre clinique vétérinaire soignant les amphibiens et nos axolotls, je mettrai au fur et à mesure, les informations et opérations faites également sur nos écailles. Ils accomplissent également des miracles ! Il s'agit de la clinique vétérinaire NAC Marseille Massilian Au CHV Massilia 121 ave de Saint Julien 13012 Marseille Tél : 04 91 82 13 13 Soins vétérinaires aux NAC et animaux exotiques (lapin, perroquet, tortue...) "Cataracte chez une grenouille. Cette Litoria de neuf ans présente une opacification de ses cristallins, surtout à gauche. Elle ne semble pas vraiment gênée et continue de s'alimenter normalement. Les causes de cataracte peuvent être multiples (physiques, chimiques, traumatiques, infectieuses, métaboliques, génétiques...). Dans ce cas, les conditions de vie sont conformes avec les besoins de l'espèce. Une anomalie génétique est envisageable. Il n'existe pas de traitement médical, la seule option serait chirurgicale. Bien entendu, cette possibilité n'est raisonnable que si le handicap devient préjudiciable avec notamment l'impossibilité de s'alimenter, ce qui n'est pas son cas. "Occlusion digestive chez une femelle Physignatus coccinus (Dragon d'eau). Ce lézard a ingéré plusieurs petits graviers responsables d'une occlusion digestive. La chirurgie consiste à ouvrir l'intestin et à les retirer. Cette femelle était en période de reproduction (on commence à distinguer les oeufs sur la radio) et cherchait peut-être une source de calcium pour la fabrication de la coquille. Elle a depuis récupéré de l'intervention et pondu ses oeufs normalement."

  • La chytridiomycose | France | Axolotls et Cie

    LA CHYTRIDIOMYCOSE Share L' automédication est dangereuse, un professionnel formé est le plus à même de soigner votre loulou. Les médicaments nommés le sont uniquement pour votre vétérinaire. Photos sous le texte. La chytridiomycose est une maladie infectieuse fatale affectant les amphibiens (anoures, urodèles et gymnophiones). C'est une maladie émergente provoquée par le chytridiomycète Batrachochytrium dendrobatidis, qui contribue au déclin des populations d'amphibiens dans le monde entier ; En 2004, elle affectait déjà 30 % des espèces mondiales d'amphibiens. « En moins de trente ans, les scientifiques estiment que plus de 120 espèces ont disparu et 435 ont fortement régressé »3. En Europe, les premières mortalités massives dues à ce champignon ont d'abord été constatées en Espagne, puis en France, en Suisse, en Grande-Bretagne. Il ne faut pas cependant céder à la paranoïa dans nos aquariums aucun risque A MOINS d' incorporer des plantes de rivières, des insectes, tétards de grenouilles ou autres anoures, là effectivement vous pouvez potentiellement infecter votre ou vos vos bacs et décimer toute votre population ! Les sympthômes : Léthargie et desquamation de la peau (chez les juvéniles quelques cm, mycose de la bouche). Les amphibiens de nos rivières y sont devenus sensibles probablement à cause de la pollution qui leur a ôté une part importante de leur immunité. Des mortalités de salamandre tachetée et de crapaud alyte ont été constatées dans les Pyrénées. Un vétérinaire spécialisé : "C'est forcément compliqué, la majorité des antifongiques sont contre-indiqués. On peut utiliser le chloramphénicol qui est un antibiotique mais qui semble avoir une action sur ce champignon. Mais il peut y avoir des effets secondaires ( aplasie, anémie )..." Un autre a également préconisé un antibiotique : Itraconazole, fluconazol contre Chytridiomycose. Donc vous pourrez vous appuyer sur ces conseils auprès de votre propre vétérinaire. Mais je rappelle que ce champignon ne peut arriver dans votre bac si vous respecter les principes cités plus hauts. Au début on distingue juste une tâche sombre au niveau de la bouche. Les extrémités commencent à foncer sur les axolotls de couleurs claires. Le champignon s'étend de plus en plus de façon ensuite très rapide sans traitement l'issu est fatale. Sur les couleurs foncées les extrémités blanchissent. Merci à Valériane Fuchs d'avoir partagé ses photos avec Axolotls et Cie pour aider d'autres membres. ​ "En ce qui concerne la chytridiomycose, il y en a actuellement deux sortes. - Batrachochytrium dendrobatidis (Bd), qui touche toutes sortes d'amphibiens partout dans le monde - Batrachochytrium salamandrivorans qui est responsable de mortalités chez des salamandres européennes. La "Bd" est portée sans signes cliniques par certaines espèces d'amphibiens, mais aussi par les têtards. Elle n'infecte que les zones kératinisées de la peau (=uniquement le bec, non vital, chez les têtards). Il y a une grosse problématique de disparition d'espèces en milieu sauvage. La problématique en captivité peut aussi être dramatique... Docteur Sylvain Larrat 38 rue du Danemark, 56400 Brec'h Tél : 02 30 06 06 06 http://www.cliniqueveterinaire-benjaminfranklin.com/ . Vétérinaire exclusif NAC, animaux exotiques, faune sauvage et aquatique ​ Diplomate of the American College of Zoological Medicine Professeur associé, faculté de médecine vétérinaire, Université de Montréal Clinique vétérinaire B. Franklin, Auray, Bretagne, France. ​ ​ ​ ​ ​ ​ L'animal peut en être porteur sans aucun signe clinique. Donc si l'on élève depuis l'œuf le juvénile et que l'on sait que jamais un seul élément extérieur n'a été apporté dans l'aquarium, (tel des plantes, pierres non bouillies) aucun souci. En revanche si l'on achète, adopte un axolotl à une tierce personne, rien n est garanti, à moins d'avoir l'historique complet de l'individu. Un champignon asiatique microscopique est à l'origine d'une crise de la biodiversité majeure, la plus importante jamais connue. Il a entraîné un déclin sans précédent parmi des centaines d'espèces d'amphibiens, dévorant leur peau jusqu'à provoquer un arrêt cardiaque. Une catastrophe écologique pourtant passée longtemps inaperçue. ​ Un champignon qui dévore la peau des grenouilles Batrachochytrium dendrobatidis appartient à la famille des chytrides, des champignons aquatiques qui consomment habituellement de la matière organique en décomposition. Mais, contrairement à ses congénères, Bd s'attaque à tous les amphibiens vivants : grenouilles, salamandres, tritons ... Il dévore leur peau et entraîne des desquamations et des ulcérations profondes. Comme les batraciens utilisent leur peau, très perméable, pour respirer, l'infection finit par provoquer un arrêt cardiaque . Sa virulence est particulièrement élevée chez certaines espèces, où la mortalité peut atteindre 100 %. Plus de 30 espèces d'Atelopus, des petites grenouilles d'Amérique centrale, ont ainsi été entièrement décimées. ​ Une dissémination mondiale favorisée par les échanges internationaux Identifié en 1998, la "Bd" a pourtant commencé ses ravages dès les années 1970. Mais, c'est dans les années 1980 que l'épizootie a connu un pic, notamment sur le continent américain. Originaire d'Asie, le champignon s'est rapidement étendu au monde entier à la faveur des échanges internationaux . L'Europe semble avoir été moins touchée, mais selon les chercheurs, la catastrophe pourrait être survenue avant d'avoir été remarquée sur le continent : des déclins massifs d'amphibiens ont, en effet, eu lieu dans les années 1950 et 1960. Attribués à l'époque à l'intensification de l'agriculture , ils pourraient en réalité avoir été causés par le pathogène. Curieusement, la maladie semble avoir épargné l'Asie, d'où elle provient pourtant. Les chercheurs avancent l'hypothèse que les amphibiens asiatiques ont pu s'adapter pour résister au pathogène. Cependant, il est aussi possible que les espèces y soient tout simplement moins bien étudiées. ​ Une nouvelle souche qui décime les salamandres européennes Le déclin semble heureusement ralentir ces dernières années. Mais, sur les 501 espèces en déclin, à peine 12 % ont commencé à se rétablir, et 39 % connaissent toujours une diminution. De plus, le champignon émerge dans de nouveaux endroits jusqu'ici épargnés, comme la Papouasie-Nouvelle Guinée ou Madagascar. Une nouvelle souche du champignon, Batrachochytrium salamandrivorans, a récemment débarqué en Europe via le commerce d'amphibiens et semble particulièrement virulent chez les salamandres locales. Une étude de Nature de 2017 montrait ainsi un effondrement massif des populations affectées. Les États-Unis et le Canada se sont déjà dotés de mesures préventives, en interdisant l'importation de 201 espèces de salamandres. En Europe, le risque d'une nouvelle extinction massive n'est pas à exclure. Nouvelle souche !!! Source : https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/zoologie-ce-champignon-pire-tueur-planete-75570/?fbclid=IwAR0C9XXbluGWAr9BmFpDpog8_Uqe1JWZravMe8TBDna5tcapAGlfgpCjAOc

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